"The ocean has turned black again, and I'm still missing you my darling [...]". Cette absence si présente, inhérente et intrinsèque. Moi, Saez et la paix intérieur. Leurs déceptions. Tes yeux bleus pétillants. Ce soleil délicieux. Sa joie à lui. Sa voix à elle. Fatigue. Floue. Cette inspiration qui me fuit. Ces questions. Ces dialogues à huit clos, mon oreiller, mon plafond. Gratitude doublée d'admiration. Ton parfum sur lui. Ce face à face que je veux éclatant. Ce nouveau pavé. Ces jours incertains. Ces projets enivrants. Nos chemins en parallèle. Ce lieu que je hais. Cette obsession médiAtique. Cette complicité tubisque. Cette faille où je me suis engouffrée. Ce sourire teintée de tristesse. Les deux allumés du morpion. Ce sirop dégueulasse. Ce besoin d'être proche de toi, ensemble ou éloignés. Cette bouille craquante. Fragilité cachée. Intriguant. Vanité, oué, que veux-tu ? Notre liaison. Ces regrets qui n'existent pas, et ces remords que j'accumule. Serre-moi fort, s'il te plait. Ce sentiment d'impuissance, ces mots que je voudrais plus convainquant. Ce collier explosif. Ceux que je ne regarde plus. Cette envie d'être à la hauteur. Son appréhension que je voudrais calmer, son silence lourd de signification. Cette ombre à chacun de mes pas. Ce bonheur qui résonne en boum, boum, boum. Explosion colorée, abstraite, qui je l'espère, te fera office de porte-bonheur. Ton toi profond que j'aimerais connaître. Cette fausseté dans sa voix. [STOP]