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vendredi, novembre 28 2008

Le scaphandre et le papillon

C'est à ce moment précis où tu crois avoir le plus de chose à dire que les mots ne viennent pas.

" E-S-A-R-I N-T-U-L......"

samedi, avril 19 2008

See what I see. Feel what I feel... Etc...


J'ai jamais compris l'absolue nécessité de la plupart des gens à descendre ces films. Se donner bonne conscience ? Ils n'osent pas avouer que ça ne les dérangent pas de voir des scènes gores ? Je ne sais pas pourquoi on a rejet direct dans notre société de ce qui semble être mal. C'est absurde. La moitié de ceux qui ont vu SAW (ahaha) n'ont pas du voir ce qui est réellement intéressant ( selon moi ). Le premier est vraiment extraordinaire, très bien construit, imaginatif, on ne tombe pas dans le cliché, la fin est "suprême". Enfin, ça reste mon avis, moi j'aime les enquêtes sur les meurtriers en série. Ce n'est vraiment pas un chef d'œuvre, mais juste surprenant, par cette idée de "survivre", à tout prix.

mercredi, février 20 2008

Into the WIld



C'est très con de dire ça avec aussi peu de justesse, contrairement au film, mais il faut le voir pour le croire. C'est certainement le meilleur film (Américain) que j'avais vu depuis longtemps. Il casse les stéréotypes. Sean Penn m'éblouit. ( Quand je pense à nous, pauvres Français, avec notre "Astérix aux jeux olympiques" c'est le monde à l'envers. Carrément.) Quelques mots ne suffirait pas. A moins peut être, dire que ce film renferme toute ma philosophie de la vie. Et puisque Léa a été aussi touché que moi, au fond, ça veut dire beaucoup. Sur la justesse, je n'ai que ce mot qui me vient. L'extrême justesse même. La pudeur aussi. Il a beau être tiré d'une histoire vrai, on tombe pas dans le cliché mielleux quoi. Le paysage, les acteurs parfaits car inconnus, la musique, et....


 

[le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé.]

dimanche, décembre 23 2007

Mets play et puis ta gueule.

 





mardi, octobre 10 2006

L'Eveil




Il m'a..... transpercé. De joie, de larme, de frisson, de peur. Tellement d'émotion que j'ai du mal à le transmettre. Sur le coup tu m'as touché, émerveillé, craqué...... Bouleversant.

lundi, septembre 18 2006

La Trilogie du Parrain.




J'adore.

mardi, septembre 12 2006

Les Poupées Russe

Dans la série des films qui vous charme par leur justesse, leur humour, leur dérision, et qu'ON ADORE : Les poupées Russe !

Il faut que je revois l'Auberge Espagnol, mais là, y'a rien à dire : Romain Duris, parfait parce qu'il ne les pas ! Les seconds rôles, tout aussi, imparfait....

Et puis, c'est vrai, l'amour, l'amour, on nous bassine avec ça, on en mange, on en boit, on en gobe et on en re-demande ! On se prend la tête au plus au point, c'est IMPENSABLE !

Le mélange des cultures aussi, ce film, ils nous fait RESPIRER !

Bref, énorme coup de coeur !

vendredi, décembre 30 2005

L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux et L'Effet Papillon



Ce film, c'est peut être la perfection absolue, tant il me correspond. Ce sont les chevaux, les grands espaces, la liberté, une histoire d'amour un peu impossible, une adolescente profondement blessé, et une fin, totalement.... Comme je les aimes. C'est beau de voir l'évolution de mon regard sur ces 2h40 de pur émotion. La première fois que je l'ai vu, je me souviens, j'avais été horrifier. Et aujourd'hui, il m'est culte. Le duo Robert Redford / Kristen Scott Thomas a touché une rare justesse que je n'ai pu retrouver que dans Heat ( Robert De Niro / Al Pacino ) C'est, je trouve, l'anti-cinéma américain, l'anti-superproduction à la con par exellence. Et les annés passent, il ne prend pas une ride. Et on a même plus besoin de fondre en larme à la fin, tellement il est touchant de vérité.



L'effet papillon, ça a été une jolie révélation. Sous des airs un peu simplet, portée par un acteur que j'affectionne (très) peu (Ashon Kutcher), il m'a totalement convaincu. Et puis, celui qui a réellement portée le film, c'est le plus jeune ( voir photo ) Logan Lerman. Un scénario qui semble carrement déjanté, fou, limite bidon. Et non, plus je le vois, plus on comprend la complexité avec laquelle il a été construi. C'est un film dur, par moment (très) mais cela ne fait qu'accentuer le charme, et l'évidente fin, à laquelle on n'ose croir. Un film tout en splendeur qui nous en apprends sur nos actes, nos choix, notre existence.

Billet mise à jour le 23 Décembre 2007.

jeudi, novembre 10 2005

Sous Le Silence

Ce film est mon point de repère. Celui que j'aurais pu tourner si j'en avais eu les moyens. Pas que je me mesure au réalisateur, ou plutôt metteur en scène, je veux dire que j'aurais réflechi, réagis, de la même manière. La relation entre Michael Hunter, le psycologue et Tommy, un adolescent pertubé est très juste, passionné, et parfois même effrayante. J'aime ce lien qui se crée, se défait, et finit par tenir le film jusqu'à la fin. Le silence prend tout son sens dans ce film. Il démontre (une fois de plus) que le cinéma américain peut faire autre chose que nous en mettre plein la tête avec des explosions, des jolies femmes, et des pseudo-superhéros. Ce film est construit sur le non-dit, l'attente d'une vérité trop longtemps laissé de côter, et le repenti d'un homme délaissés par sa famille. J'y est découvert Andy Garcia, et quand j'y repense, au fond, ma fixation sur sa personne n'était que sommaire, le film est beau à cause d'un tout. Lui, il m'a "juste" beaucoup touché.

Billet mise à jour le 23 Décembre.