Mise à jour Avril 2008 :

Je me souviens très précisément des raisons qui m'ont poussées à faire ce blog, il y a de ça bientôt 3 ans. Un trop plein de chose à dire, plus ou moins farfelues (jeunesse ? ), plus ou moins vraies aussi. Trop de chose à dire pour si peu de gens pouvant m'écouter. Je me sentais.. trop à côté, je crois. A des années lumières de ceux avec qui j'étais, mais après tout, ça n'a pas été vraiment mauvais. j'en retiens Marie, puis des souvenirs... indélébiles ? J'avais un besoin existentielle de balancer ce qui me plaisait ou non. Un besoin d'écrire, constamment, un journal intime en ligne, ouai. Aujourd'hui, l'envie, le besoin, est toujours présent, mais, peut être plus sobre, discret, direct. En trois ans, c'est normale que l'évolution suive son chemin, et on le remarque forcement. Et même si souvent, certains articles ne me correspondent plus, ou très peu, je fais un tri et j'en garde une grande partie. Ces morceaux de vies, je serai heureuse de m'en souvenir dans quelques années : ) C'est pourquoi je recommence cette présentation....

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J'aime écrire, le vent, la pluie, la musique dans mes tympans, parce que ça t'emmène si loin que tout semble s'arrêter. J'aime rire, profiter, voir, exister. J'aime les hommes, et l'intérêt qu'ils suscitent dans ma tête. J'aime l'extrême, le démesuré. Mais aussi la simplicité, le bonheur de vivre, et plus que tout, la chaleur d'un concert. J'aime mon Alter Ego, ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle. J'aime croire à un monde meilleur en écoutant DAMIEN SAEZ. J'aime danser, bouger, courir avec ZAZIE. Et j'aime aussi m'éclater avec U2 en passant par Police jusqu'à The Rasmus en faisant un détour jusqu'à Lifehouse. J'aime tout et son contraire. Je suis tout et son contraire. Et même si il me manque, lui, sa musique, ses accords, même si j'ai parfois le sentiment d'avoir manquer quelque chose.... Je lui dois des heures de calme, d'envie, de beauté, de simplicité, de guérison, plus que tout : Jean Jacques Goldman. J'aime toi, et ton rire sucré-salé, ta bouille enfariné, nos heures PRISON BREAK, notre folle ivresse de l'HG. Et même si... j'ai peur, que tout s'efface, tu sais, rien ne vaut ce que tu me donnes. ( Marion ) Marie... Je ne dis rien, le silence évoque tout, la rencontre, l'attachement, les rires, les distances, ses moments inoubliables, ma fascination à ton égard. J'aime quand Debbie résonne dans les murs, et que je fais des crêpes. J'aime l'anglais, sauf lorsqu'il gagne au Rugby ; que mon Chabalou pleure. Hurler, murmurer, accélérer, ralentir, attirer, repousser, m'envoler, tomber, y croir et laisser place au desespoir. Quelle vie.... Que j'aime.... Qui se promène.... Non loin des bancs de cours.... Quel amour..... Qui laisse des goûts d'éternité.... Comme dans nos peaux..... Scarifier.  J'aime quand Yann me porte et que nos cheveux se mêlent.
J'AIME LES HOMMES ! Puis les femmes, les mioches, les secrétaires, les techniciens et ciennes de surface, les feuilles mortes, les pigeons, et les employés du Crédit Agricoles. Bref, les gens. ( et les animaux, et les végétaux ) J'n'aime pas, ou l'éternelle insatisfaction humainE. Quand le jour se lève sur la planète france et que je me sens pas dedans. Quand la lumière s'éteint, et que l'obscure clarté de nos rires ne s'allume pas. Quand les préjugés rendent aveugles, quand on forme des clans de " semblables" Quand, nous, "pauvres" occidentaux, on laisse le monde s'écraser à 80 années lumière. Et qu'on s'en fou, ouéch. Lorsqu'on ne m'écoute pas, quand les journées sont plates, me dire que mon meilleur ami me manque, que j'ai trop laisser le temps s'effacer entre nous et que je ne peux rien y faire. Me demander si un jour, Léa s'effacera. Mais Chut. Je l'aime. Voir une daube de film en solo. Parce qu'à plusieurs, c'est plus dérisoire, drôle. Me dire qu'elle et moi, on pourrait facilement être des grosses pétasses, mais non, j'aime trop les gens.... J'aime pas quand j'emmerde. J'aime pas le voir caresser d'autre cheveux que les miens. Douce fatalité qui éclate chaque jour un peu plus. J'aime pas quand Lila ne me fend pas de son sourire Colgate durant longtemps. Ah oui , et puis lui aussi ( un autre ), quand il n'est pas heureux. J'veux que son bonheur, avec ou sans moi.