Facebook. Bonjour à ma génération oui, c'est sûr, enfant de la planète internet. Un jour, on sera même ce que tu es en train de faire, pisser, boire, manger, les trois en même temps.

Manque d'envie de m'afficher par ici**, ce qui est assez regrettable puisque ça fait tellement du bien d'écrire. Ne serait-ce que : Saez se fait vraiment attendre, j'en rêve la nuit de ces lives, me plonger une fois de plus dans le noir de ses yeux ! Ou alors vous dire que que j'écris, une cuillère de parmesan en poudre dans la bouche. Bref. C'est presque devenu indécent d'écrire là en fait.

Rien à dire puisque vous savez tout. Trop, peut-être. Je veux pas prendre le risque de m'exprimer à travers des sous entendus vaseux. Ni de passer en format "surnoms" de circonstance. L'heure est grave ! Peut être une passade, peut-être pas, on verra. Les pixels me cassent les couilles, et vu que j'en ai pas, c'est vous dire. Les cours aussi d'ailleurs. Je m'énerve. Me regarder dans la glace. Manger comme ça, pour faire quelque chose. Le vide. Penser au futur plus ou moins lointain.Être là. Tout ça, grrr.

Le seul truc qui passe bien c'est les "époques charnières" et les "j'aime beaucoup cette idée" de Fréderic Lopez. 

Fuck Off.

*(N'envisagez pas même une seconde que j'écrire son prénom ici, bande de chacal)

**(traumatisme post-7h48)