... tellement de choses à dire que je risque de perdre mes mots.

J'n'aime pas particuliérmeent le racontage de vie aussi brutale mais lors d'un retour de vacance, il s'impose. Je préfére mille fois écouter les gens que m'afficher moi même... Là, il faut que ça reste quelques parts, pour les années d'après où je sourirais brusquement en relisant un détail d'une journée.

Paf, un bon en arrière d'une semaine, nous nous retrouvons le vendredi 20 juillet. Le temps est ensoleillé bien que le vent fasse se soulever la jupe de Marie. Direction Béziers, puis Valras en bus ( SUPERBUS ça va être SUPER en BUS que je lui avais dit ) et bien, c'était vrai. On s'est baignées, fais bronzette derrière un mur pour rejeter le vent loin de nos visages, achetées une rose à Jenn Ayache. On rencontre nos coupins un peu par hasards et on reste ensemble. Environ 3 heures plus tard, le groupe s'est divisé en deux sous mes ordres afin d'optimiser au mieux la prise de contact avec la barrière qui se situe juste devant la scène. Notre attente est enfin recompensé quand les vigiles nous ouvre les portes du paradis : pile devant moi et ma compagnonne, Justine. Hésitation furtive, chopage de manche à Justine et folle course très TITANESQUE vers la barrière, je mis accroche tant bien que mal, juste devant le micro. Mais après un cris de joie totalement incontrôlé, j'entends une horde de jeune fille hurlaient mon prénom : je me retourne et des mains se tendent vers moi, à bout de doigts... Je saisis une main, mais un groupe de trentenaires hostiles à tout déplacement manifestes un non-alignement des plus chiants. C'est le bide. Ils ne veulent pas bouger pour laisser le reste de la troupe ( des plus "nains" ) passer près de nous. Voilà, à 1 h et demi d'un concert qui s'annonce des plus exitant, des abrutis nous empêchent de passer la soirée ensemble, POUR 20 CENTIMETRES ! ( CONNARD, et CONNASSE ) ( je ne vous précise pas que le but du jeu pendant le concert a été de crier, et bouger le plus posible pour les emmerder, et ça à marcher ) ( mais ils n'ont pas bouger pour autant ). C'est un peu la vague à l'âme que l'on re-attend.

Première partie : PIUMA, Justine et moi nous nous déchirons pour encourager les deux jeunes femmes pleines de charmes. Dur, quand je pense à tous ces blairautas et touristas ( note à moi même : ANTONIO ) qui n'ont fait que huer... Puis enfin, l'ambiance monte, les cris fusents, la chaleur se fait ressentir... Ils arrivent.... Dans toutes leurs splendeures. En premier les musiciens et enfin, la merveilleuse JENN ! Au fur et à mesure du concert, je perds la notion du temps, du sons, et de mes pieds. Grande hystérie totale. Puissance et délivrance. J'ai keeffé, je ne mettais pas lâcher comme cela depuis longtemps... Nous reprenons tous les chansons en coeur ( une spéciale pour " Travel the World " que je vis encore là ) et un rappel GEANT ! J'irais les revoirs très certainement parce qu'... ils envoient des déchagres électriques sauvages...



Place maintenant au samedi 21 juillet, 8h20, gare de Béziers, nobody. Arrivé des monos, des gens... Que je me sens mal avec ses gens que je connais sans vraiment connaître, qui ne me corresponde pas, me ressemble pas... Début difficile en somme mais semaine très mouvementés, drôle, enrichissante.... ( Spéciale dédicace à Camille et Marina parce qu'on a su s'apprécier quand même ) Je suis fière de l'avoir fait je pense... En résumer, dans l'odre chronologique : froid, fou rire, Coca Cola, sol dur, vélo, vieux, jeunes, douches, resto, re fou rire, preque nuit blanche, 3 mains + 3 caillasses sur caravane de merdeux = gros flippe et détalage, crevaison, eau, tir aux armes, golf, WC, kayak, mono extra, mal partout, poissons morts, araignée, blague, maillot troué ( T'es trop fort quand même ) leurs rires de tebê, nutela, jeu de la bouteille, Jaco, les étoiles filantes...

Pas encore de photographie, mais ça ne serrait tarder...


Vous m'avez manquer mes meufs... Marie, Marion, Léa, pensée à vous chaque jour...